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Collectif Désobéissance libertaire
Trois histoires de résistances sans violence contre la domination
La domination, la guerre et la violence quotidienne, sont loin d’être enterrées dans les livres d’Histoire. À côté de la résignation, ou de la logique du plus fort que parfois on résume dans l’expression « œil pour œil, dent pour dent », il y a une autre alternative qui consiste à développer la culture et la pratique d’une résistance sans violence.
Comme cela s’est passé dans les années quarante, avec la résistance des professeurs norvégiens à la mise en place d’un régime fasciste avec Quisling ; en 1943, à Berlin, sous le régime hitlérien, avec la résistance essentiellement de femmes pour la libération de leurs maris juifs emprisonnés et voués à la mort ; et enfin, en 1968, avec la résistance des Tchèques à l’invasion de leur pays par les armées du bloc soviétique. C’est ce chemin que la lecture des trois exemples ici rassemblés nous invite à entreprendre.
Le collectif Désobéissance libertaire regroupe ponctuellement quelques personnes, d’origines variées, engagées dans des actions et des réflexions concernant différentes façons d’intervenir dans le domaine politique et privilégiant la désobéissance civile.
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