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OTS Michel
Un goût d’air libre
Il est possible de développer des modes de vie qui ne détruisent pas la nature, il est même possible de retrouver la félicité d’une vie en osmose avec elle, mais les institutions et les mentalités imposent très vite leurs limites. D’où la nécessité de faire reconnaître un « droit paysan » qui permette à une petite paysannerie de renaître.
Ce texte, qui tient de l’analyse, du conte et de la nouvelle, de l’autobiographie et du manifeste, apporte une bouffée de grand air.
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