Si l’on en arrive à une telle confrontation, c’est peut-être pour une grande part par la distance prise dans les « démocraties » entre les manœuvres secrètes de la politique internationale et la volonté des peuples. Les élections ne permettent plus d’influencer le fonctionnement des services secrets, des forces d’interposition et d’autres. Pour éviter de nouveaux attentats, il faut donc poser des problèmes à un niveau bien différent que la simple opposition simpliste que nous proposent les médias américains. L’auteur avance que la prise en compte de l’écologie sociale, avec la dénonciation des causes et des effets de notre société de consommation, peut être un élément important pour amener ce changement. II faut aussi pour cela avoir la capacité à prendre du recul vis-à-vis des États et de leurs dirigeants. Bonnes réflexions.