A-phroismes d’août (17)


Je vous quitte sans désespoir, le sourire aux lèvres, la paix dans le cœur. Vous êtes trop jeunes pour pouvoir apprécier le plaisir qu’il y a de partir en bonne santé, en faisant la nique à toutes ces infirmités qui guettent la vieillesse. Elles sont là, réunies ces salopes, prêtes à me dévorer.

Lettre à Guy Denizeau, 17 août 1954

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