Aphorismes d’un été jacobien


Parmi les humbles, la misère doit sévir. Et ce n’est pas fini. Qui sait si, tout compte fait, les conséquences de la guerre ne seront pas plus nuisibles que la guerre elle-même : les maladies, la famine sont des ogresses gloutonnes qui exigent des hécatombes d’êtres. Il n’y a pas à gémir. La guerre est une des fatalités de l’existence.
Lettre à Marie Jacob, îles du Salut, 23 septembre 1914

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