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15 janvier 2015 par JMD
Paroles de J.-C. Dervieux, air : du Docteur Noir, in J.-F. Gonon, Histoire de la Chanson stéphanoise et forezienne depuis son origine jusqu’à notre époque, Saint-Étienne, imp. coopérative « L’Union typographique », 1906, p. 405-406.
In Gaetano Manfredonia, Libres ! Toujours …, Atelier de Création Libertaire, 2011, p.97-98
Patron, ta machine fracasse
Les bras des meilleurs ouvriers,
L’autre jour c’était ma carcasse
Qu’on retirait des cendriers ;
Pour satisfaire à tes caprices
J’ai dû remplir ton coffre-fort
Mais mon bras n’est plus assez fort,
Plus assez fort.
Vois ces nombreuses cicatrices.
Si tu me pousses au désespoir
Tu peux trembler quand vient le soir. }bis Lire le reste de cet article »