Jacoboquizz : nous n’avons pas peur des ruines


28 décembre 2014 par JMD

Un livre. Un honnête bouquin. Un chantier. Des maisons dans le fond et c’est tout. L’honnête cambrioleur est passé par ici. Mais où ? Quand ? Qui a pu être visité par les Travailleurs de la Nuit ? Nous cherchions l’endroit et nous y avons trouvé des ruines.  Quel est ce lieu ? A toi, ami (-e) Jacoblogueur (-euse), de nous le dire en commentaire. Bien évidemment, il n’y a rien à gagner. Juste le plaisir de jouer. Juste un souvenir, celui d’un honnête homme faisant de la reprise individuelle à des fins collectives. Anarchiste révolutionnaire, il a fait ici un bout de révolution. Vienne l’Anarchie ! … et la réponse aussi. Très bientôt. En attendant, le Jacoblog vous souhaite une bonne et heureuse année 2015 en rouge et noir. Vive les enfants de Cayenne !

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Dernier convoi


27 décembre 2014 par JMD

Le décret-loi d’Edouard Daladier du 17 juin 1938 est clair. Seule la transportation est abolie. Le 22 novembre de cette année, 610 relégués, parqués à Saint Martin de Ré, quittent la France. L’ambiance est électrique, l’Administration Pénitentiaire est sur les nerfs. L’évènement attire les familles des hommes punis mais aussi de nombreux journalistes venus de Paris ou encore des Etats Unis. Ils posent des questions, s’entretiennent avec des pères, des mères, des femmes de condamnés ; interrogent des surveillants. Ils cherchent à en savoir plus sur l’émeute qui a éclaté depuis le 19. Charles Péan, dans Conquêtes en terre de bagne, se souvient du départ de ce dernier convoi. Du fait de la guerre qui éclate peu de temps après, il n’y en aura  plus d’autres. L’officier de l’Armée du Salut évoque une véritable « folie furieuse »[1] s’emparant des relégués détenus dans la citadelle de Vauban. On la retrouve encore dans le livre de Pierre Desclaux. Le journaliste, auteur en 1946 de Dix ans avec les bandits, travaille à l’époque pour Police Magazine et c’est peu dire que sa vision de l’évènement tranche particulièrement non seulement avec celle de Péan mais surtout avec celle de ses confrères dont il « déplore les exagérations » et qui, depuis les écrits de Londres, n’hésitent pas à critiquer vertement la vieille barbarie pénitentiaire. Loin de s’apitoyer, il considère finalement que ce ne sont alors que des criminels que l’on envoie expier loin de la métropole. Lire le reste de cet article »

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Mois mois mois mois mois mois


21 décembre 2014 par JMD

Et moi, et moi, et moi, chantait l’autre en 1966. Si l’homme est doté d’un nombril, la taille de celui-ci est-elle proportionnelle à la sur-dimension de l’ego ? Pour beaucoup d’entre nous, il est à craindre que les rigueurs hivernales ne le réduisent pas à la microscopique taille du boson de higgs. Ainsi va le moi, le moi, le moi, le moi, le moi, le moi … réfractaire climatique. Mais, à n’en point douter, celui de l’honnête cambrioleur passerait presque inaperçu tant, tout au long de son honnête existence, il a su faire preuve d’une pragmatique et professionnelle discrétion, ne se mettant en valeur que pour les besoins d’une cause ou pour la nécessité d’un combat. L’émoi est alors grand lorsque l’on découvre que l’homme sort du cadre réducteur du voleur, extraordinaire ou vulgaire – c’est variable selon les époques et les appétits mercantiles; lorsque l’on s’aperçoit qu’il peut incarner autre chose qu’un classique travailleur de force ; lorsque l’on remarque qu’il revêt les anonymes habits d’un marchand forain  vendant du tissu sur les foires et marchés du Val de Loire. De là vient aussi notre volonté d’éclaircir la vision d’un personnage qui a toute sa place dans l’histoire du mouvement libertaire, dans l’histoire du fait divers, dans celle de la prison à la française considérée par lui comme une « vieille barbarie » plutôt qu’un haut degré de civilisation. Une question historiographique ? Six mois à thème pour tenter d’affiner le portrait, d’éclaircir le contexte. Demandez-le programme, c’est bientôt Noël ! Demandez le programme, 2015 va bientôt arriver. Vous pouvez le chanter aussi. Lire le reste de cet article »

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Image de l’apache dans la France de la Belle Epoque


20 décembre 2014 par JMD

Gavroche

N°163, juillet-septembre 2010

L’image de l’apache dans la caricature de la Belle Epoque et de la Grande Guerre

Apaches, le mot est à la mode parisienne pendant la « Belle Époque ». Pas seulement pour qualifier les malfrats des faubourgs. La caricature s’empare du terme et en affuble dirigeants et peuples qui se comportent en sauvages.

En France, on s’intéresse à la conquête de l’Amérique. Ce n’est pas par hasard si en 1832, Alexandre Dumas intitule un de ses romans Les Mohicans de Paris dont l’action débute à l’angle des rues Saint-Denis et Blondel. Il s’inspire du titre de Fenimore Cooper Le dernier des Mohicans publié en 1826. Alfred Delvau s’y réfère aussi lorsqu’en 1860, il publie Les dessous de Paris. Dans Apaches, voyous et gonzes poilus, Claude Dubois précise qu’en parlant de la pègre de la Maubert, Delvau écrit que ce sont les « Peaux-Rouges du Paris moderne, qui sont comme les scories de la grande capi­tale en ébullition de progrès… ». Après l’ultime guerre contre Geronimo entre 1883 et 1886, c’est en 1889 que le Wild West Show de Buffalo Bill s’installe près de la porte Maillot à Paris. C’est à partir de 1895 que le mot apache commence à fleurir à la Courtille pour désigner les voyous et autres malfrats des faubourgs. Lire le reste de cet article »

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Sapin sa pigne de Noël


16 décembre 2014 par JMD

L’ACL, notre maison mère, fait ses promos de Noël et, nom d’une Pigne, il n’y a pas à hésiter longtemps pour que vive l’anarchie économique au pied du sapin et partout ailleurs !
A partir de 40 euros de livres achetés, tous les titres à moitié prix (à l’exception des titres parus en 2014), franco de port, et cela jusqu’au 31 décembre 2014… Et un livre offert !

ET, avec toutes les économies faites, il y aura de quoi soutenir les éditions de La Pigne qui viennent de lancer une souscription pour la réédition de la Souscription pour l’édification d’un monument au Policier inconnu de Maurice Rajsfus, pamphlet caustique, féroce et drôle sur les dérives et les violences policières. L’ouvrage de 80 pages, format 12×20 cm, sera vendu 8€ à sa sortie (plus 2€ de frais de port) ; il est proposé à 7€ franco de port jusqu’au 31 mai 2015 (ou bien 20€ pour 3 ouvragé commandés, ou bien encore 30€ pour 5 ouvrages commandés). Chèques à l’ordre de LA PIGNE à envoyer à :

Éditions de la Pigne 21 rue Yvan Goll 88100 Saint Dié.

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Vols à Beauvais


13 décembre 2014 par JMD

Avec 20300 habitants au début du XXe siècle, Beauvais est une cité au faste passé et déclinant. La préfecture de l’Oise vit sur sa tradition textile et semble avoir raté le saut de la révolution industrielle. Pour autant, la cité picarde où prospère une bourgeoisie locale semble être une cible intéressante. Depuis 1876, une ligne directe de chemin de fer la relie à la capitale … et donc aux Travailleurs de la Nuit. Par quatre fois en 1901, 1902 et 1903, certainement plus si l’on tient compte des cambriolages non avoués, les cambrioleurs anarchistes y ont œuvré. Un avocat, un bourgeois, une rentière et une église … nous retrouvons ici un panel classique de victimes politiquement et socialement choisies. Si Ferrand ne rapporte rien de son expédition menée seul semble-t-il au domicile de la veuve Théron, le butin parait nettement plus conséquent dans l’église Saint Etienne. Peut-être est-ce pour cela que Jacob, accompagné de Ferré, Bour et Ader, y laisse un billet certainement signé « Attila », le fléau de Dieu. Mais les voleurs savaient-ils que l’édifice du XIIe siècle combinant éléments romans et gothiques supporte sur l’un des deux portails de son transept une sculpture nommée … « Roue de la fortune » ? Lire le reste de cet article »

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Chanter en Illégalie


6 décembre 2014 par JMD

Généraliser l’insoumission et préparer le Grand Soir ; Gaetano Manfredonia poursuit son analyse de la chanson anarchiste avec un chapitre consacré aux terroristes, aux illégalistes et aux trimardeurs. S’il note avec justesse que la plupart des auteurs de ce répertoire sont restés anonymes, il remarque encore que nombre de ces chansonniers sont aussi passés à l’acte, mettant de facto en pratique les textes écrits. Nous pouvons alors regretter de ne point trouver dans cette intéressante analyse les textes d’un Pélissard et ceux d’un Clarenson, Travailleurs de la Nuit, voleurs, anarchistes, et bagnards.

Gaetano Manfredonia

Libres ! Toujours …

Anthologie  de la chanson et de la poésie anarchistes du XIXe siècle

Atelier de Création Libertaire, Lyon, 2011, p.95-97

Chapitre 7 : Terroristes, illégalistes et trimardeurs

Toute la production chansonnière de ces années, on l’a vu, est ponctuée d’appels enflammés à la guerre civile et à l’insurrection. Il n’est donc pas rare d’y trouver de véritables apologies des actes de propagande par le fait. Toutefois, contrairement à la production engagée de nombreux chansonniers, montmartrois en fin de siècle, les couplets des poètes anarchistes ne sont pas de simples vers de mirliton, car, dans leur grande majorité, ils sont l’œuvre de militants peu connus ou restés anonymes pour qui les tirades incendiaires de leurs compositions étaient à prendre au pied de la lettre. Lire le reste de cet article »

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Bagne et bagnards


29 novembre 2014 par JMD

Pierre Desclaux (1885-1961) a utilisé de nombreux pseudonymes (Pierre Barbance, Jean Frick, Georges Jardin, Tommy, Sylvio Pelliculo, etc.) pour exercer ses talents d’écrivain et de journaliste. Il nous montre à voir le monde édifiant du crime dans ses Dix ans avec les bandits. Le livre est publié aux éditions toulousaines du Hublot en 1946. L’auteur semble connaitre son sujet. Et pour cause ! Après avoir collaboré à de nombreuses feuilles, dont Le Figaro et Gil Blas, et avoir été scénariste des Pieds Nickelés de 1921 à 1924, il dirige la revue Mon Ciné au début des années 1930 avant de devenir rédacteur en chef de Police Magazine à la fin de cette décennie. Il signe d’ailleurs en décembre 1938 deux articles consacrés aux relégués et au dépôt pénitentiaire de Saint Martin de Ré. En toute logique, le monde du bagne apparait dans les chapitre II et III de son ouvrage. Lire le reste de cet article »

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Lettres du bagne : 1914


22 novembre 2014 par JMD

« Je me sens fondre goutte à goutte. Alors … » Barrabas paraît las, fatigué, épuisé. C’est un véritable mort vivant qui est sorti le 17 juin 1912 des sinistres cachots de l’île Saint Joseph après avoir purgé deux ans et demi de réclusion pour le meurtre du forçat Cappelleti (25 décembre 1908). Depuis, le matricule 34777 accumule les ennuis de santé. Le corps a du mal à suivre et l’esprit alterne d’actives phases d’opposition à l’Administration Pénitentiaire et de longues périodes dépressives. Alexandre Jacob se déclare « complètement schopenhauerisé » le 11 mars 1913 et envisage même mettre fin à ses jours le 19 décembre suivant. Les huit lettres conservées pour l’année 1914 – il en manque au minimum quatre – mettent en avant le même état neurasthénique. Pourtant et lorsqu’il écrit à sa « chère maman », à sa « bien bonne », l’honnête forçat fait preuve d’une double et formidable capacité de résistance. Lire le reste de cet article »

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Souscrip pour la Souscrip de Maurice Rjasfus


16 novembre 2014 par JMD

Les Éditions de La Pigne lancent une souscription pour la réédition de la Souscription pour l’édification d’un monument au Policier inconnu de Maurice Rajsfus.

« Le monument au Policier inconnu, rapidement désigné comme le Mur,  serait agrémenté d’une véranda pour les jours de pluie, permettant d’entendre le bruit caractéris­tique des gouttes d’eau heurtant le sol pavé : flic flac, flic flac, flic flac… Si l’on peut éviter les flaques, il est parfois difficile d’échapper aux flics (…). Quitte à énerver les meilleurs soutiens de l’ordre public, j’ai le droit – et le devoir – de tenir un tel langage. Au nom de mes parents assassinés à Auschwitz, en juillet 1942,  grâce aux bons soins de la police française ; au nom de mes amis algériens matraqués et jetés à la Seine en octobre 1961 ; au nom des étudiants malmenés et gazés en mai et juin 1968 ; au nom, enfin, de ces « clandestins » expulsés brutalement chaque jour – sous la gauche comme sous la droite. Non, la police n’a pas changé, même si les bravaches de juillet 1942 sont dignes depuis longtemps de figurer parmi les Inconnus possibles du monument. Selon les périodes, les policiers n’aiment pas les Juifs ou les Arabes. Alors qu’on me permette de ne pas aimer la police ! » Lire le reste de cet article »

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Quand Le Petit Parisien inventait les apaches


15 novembre 2014 par JMD

Gavroche

N°99-100, mai-août 1998

Quand le Petit Parisien inventait « les apaches »…

«Dans le Paris moderne rôde un individu qu’Eugène Sue et Balzac n’ont pas connu, mais qu’ils auraient décrit avec minutie, un coquin que Vidocq a ignoré mais contre lequel il eût aimé déployer sa force et sa ruse : l’Apache. On ne sait plus aujourd’hui si l’Apache, de création récente, a produit une certaine littérature, ou si une certaine littérature a produit l’Apache… Sous ce vocable dont on l’a affublé, on a réuni l’escroc, l’escarpe, le rôdeur de bar­rière, le cambrioleur, le faquin à poignard clandestin, l’homme qui vit en marge de la société, prêt à toutes les sales besognes pour ne pas accomplir un labeur régulier, le misérable qui crochète une porte ou éventre un pas­sant, parfois pour rien, pour le plaisir…». Le Matin, dans son numéro du 13 décembre 1907, dépeint en ces termes une nouvelle figure parisienne, née dans les premières années de la Belle Epoque, et qui connaît un énorme succès médiatique : l’apache. Lire le reste de cet article »

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Vols à Brumetz


8 novembre 2014 par JMD

Il existe très peu de sources sur les deux vols commis à Brumetz, petit village de l’Aisne d’environ 200 habitants situé à une trentaine de kilomètres au sud-ouest de Soisson. Le coup est organisé par Félix Bour pour son entrée dans la bande des Travailleurs de la Nuit et s’inscrit dans une série de cambriolages entamée au début du mois de novembre 1902 avec l’église Saint Jacques de Compiègne. De cet édifice, Alexandre Jacob et Léon Ferré avaient rapporté 80 francs et quelques ex-voto en argent. A Brumetz, la démarche est différente. Félix Bour et Alcide Ader accompagnent les deux premiers voleurs. Lire le reste de cet article »

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Dans les soirées familiales anarchistes


1 novembre 2014 par JMD

Gaetano Manfredonia

Libres ! Toujours …

Atelier de Création Libertaire, Lyon, 2011

NDJ : les chansons citées par l’auteur seront mises en ligne en janvier 2015 dans le cadre du mois de la chanson du Jacoblog. Le chapitre 5 de cet excellent livre permet de saisir les acquis culturel d’Alexandre Jacob lorsqu’à Marseille ou ailleurs il fréquentait les cercles anarchistes.

Chapitre 5, p.67-69

Ce que chantaient les compagnons dans leurs soirées familiales

La portée propagandiste que les compagnons attribuent à leurs compositions ne saurait faire oublier pour autant leur dimension ludique. Si l’on chante dans la rue à l’occasion d’une grève ou lors d’une manifestation, c’est d’abord dans le cadre beaucoup plus intimiste des soirées familiales, bals, tombolas ou commémorations diverses que les anarchistes proposaient très fréquemment, que la chanson était reine. Lire le reste de cet article »

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Léon Collin, l’autre médecin du bagne


25 octobre 2014 par JMD

LEON COLLIN

Des hommes et des bagnes

Guyane et Nouvelle-Calédonie, un médecin au bagne (1907-1912)

Libertalia

21 octobre 2014

Léon Collin est mort en 1970. Il a subi la boue des tranchées ; il a vécu  la défaite de 1940 et l’occupation ; il a navigué sur toutes les mers du globe et a vu la presque totalité de cet empire français où le soleil ne se couchait jamais. Il a 27 ans lorsqu’il débarque en Guyane en 1907. Il s’occupe du transport sur le vapeur le Loire des condamnés aux travaux forcés. Chargé de mission pour les services épidémiologiques, il passe ensuite trois ans en Nouvelle Calédonie de 1910 à 1912. Rien pourtant ne prédisposait ce jeune médecin de l’armée coloniale, homme de son temps, un brin réactionnaire mais profondément humaniste, à affronter l’horreur du bagne. Qui aurait pu deviner que ce fils de négociant en vin bourguignon serait marqué à vie par son expérience ? Les éditions Libertalia ont eu la bonne, la très bonne idée de publier ses carnets de notes. Lire le reste de cet article »

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Gavroche en toute bonne foi ?


19 octobre 2014 par JMD

Le courrier des lecteurs de la revue Gavroche fait mention dans le n°138 des critiques formulées par Jean-François Amary et nous-mêmes à l’occasion de la publication dans le numéro précédent du papier de François Roux sur « le révolté à vie » Jacob. Force est de constater que les lettres ont eu droit à un traitement largement restrictif mais aussi que la réponse de l’auteur est pour le moins révélatrice d’une légère, très légère mauvaise foi. C’est pourquoi nous rajoutons à ce papier la lettre originale envoyée.

Gavroche

N°138, novembre – décembre 2004

Courrier des lecteurs, p.23

La lecture de l’article paru dans notre dernier numéro « Marius Jacob: le révolté à vie (1879-1954) » a amené deux lecteurs à réagir. Lire le reste de cet article »

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