Des fleurs pour l’honnête
samedi 13 juin 2009 par JMD
Le titre est certes accrocheur. Mais l’article de la journaliste de Vosges Matin en date de ce dimanche 24 mai 2009, malgré les erreurs de retranscription, a au moins le mérite de présenter Alexandre Jacob et Paul Roussenq (avec un Q) sans les inénarrables et médiatiques stéréotypes de l’aventurier ou du bagnard traînant son boulet accroché au pied. Nous avons pu alors discuter longuement avec de nombreuses personnes de l’anarchie, de l’illégalisme mais aussi de l’actuel système répressif, envisagé comme une réminiscence de cette « vieille barbarie » qu’est la prison à la française. Vive les enfants de Cayenne ! Lire le reste de cet article »
C’est tout frais de ce matin. Livré avec la bouteille de lait. Mais le papier, qui fait l’annonce du RDV déodatien de l’Inco et de l’honnête cambrioleur, aurait pu mentionner les éditions Libertalia et l’Atelier de Création Libertaire.
Vosges Matin
samedi 23 mai 2009
pages Saint Dié Lire le reste de cet article »
Samedi 23 octobre 2004. Reuilly, Indre. Claude Nerrand, président de l’office du tourisme local, et Patrick Bertrand, adjoint au maire, dévoilent une plaque de rue. L’impasse porte désormais le nom de Marius Jacob. Dans ce petit village d’à peine 2000 âmes repose depuis un peu plus de cinquante ans « le dernier des grands voleurs anarchistes » (dixit le Dictionnaire Biographique du Mouvement Ouvrier Français de Jean Maitron). Lire le reste de cet article »
Il est des jours où il ne faut rien laisser traîner … même si c’est pour l’esthétique cause. Et tant pis pour les sectateurs de l’abrutissante iconographie à la Anne Geddes. Crime de lèse Jacob : l’honnête Bab semble avoir apprécié l’honnête cambrioleur. Il n’a guère goûté en revanche les versions antérieures de la vie du voleur anarchiste. Et après, le bougre s’en est allé jouer avec ses Jacobils. Lire le reste de cet article »
Que sait-on d’Alexandre Marius Jacob ?
Beaucoup et peu de choses à la fois. Beaucoup parce que les sources existent. Eparpillées à tous les coins de l’hexagone et même au-delà. Lire le reste de cet article »
Littéralement et selon Saint Harrap’s, le flyer est un aviateur. C’est aussi une feuille volante, une pub, une annonce photo-copiée et que l’on laisse traîner dans les bars, les librairies, les lieux associatifs, sur les tables de presse, dans les concerts, les débats et les causeries populaires. Cela permet en outre de faire connaître une groupe, une expo, un livre qui n’aurait pas la faveur du public autrement. Lire le reste de cet article »
Une causerie.
Des causeries.
Populaires comme chez le béquillard, au 22 rue du Chevalier de la Barre à Paris ! Mais ce n’est pas à Paris que cela se passe. Nous entamons la transhumance. Direction le Sud. Et l’on conciliabulera de l’honnête cambrioleur, du vol comme théorie, du fallacieux amalgame lupinien , du bagne où il se passe plein de choses et de ce coin perdu du Berry où il ne se passerait rien, de pleins d’autres choses encore sur l’honnête cambrioleur à Montpellier, à Romans et à Marseille. Qu’on se le dise ! Lire le reste de cet article »
Oxymore ? L’honnête s’accorde-t-il avec le vol ? Cela ne tient pas non plus du paradoxe. La vie de l’honnête cambrioleur anarchiste Alexandre Jacob (1879-1954), et par extension, l’acte illégaliste révèlent tout le contraire de l’oxymore. Le « cas témoin » de cette branche du mouvement libertaire dépasse largement le cadre du stéréotype lupinien, va au-delà de l’image du bandit au grand cœur, d’une espèce de Robin des Bois lâché dans une Epoque qui fut bien loin d’être Belle. Lire le reste de cet article »
Réfractions parait deux fois par an. Chaque numéro de cette revue de synthèse anarchiste est axé sur une thématique centrale, accompagnée d’une critique des livres parus. Le n°21 s’intitule : « territoire multiples, identités nationales ». Le long papier de René Fugler fait le lien entre trois ouvrages sortis récemment : « les milieux libres » de Céline Beaudet, « les en-dehors » d’Anne Steiner et « l’honnête cambrioleur ». L’auteur a aimé les trois volumes. Peut-être plus la version romancée, nettement moins « universitaire » et « plus entraînante », de la geste des bandits tragiques, vu par les yeux de Rirette Maitrejean, par rapport au contenu des deux autres ouvrages. Lire le reste de cet article »
On ne compte plus les déclinaisons nationales de Wikipédia. Les encyclopédies libres et on line fleurissent comme les moblots tombaient à Gravelotte. Et, dans ce foisonnement de portails d’accès à la connaissance universelle, l’honnête cambrioleur trouve une place particulière permettant de valoriser soit une région, soit un mouvement politique. Nous avons récemment écrit tout le « bien » que l’on pouvait du papier biographique inscrit dans la maison mère. Une biographie dans un dictionnaire, tout en visant la synthèse, est forcément et par définition réductrice. Lire le reste de cet article »
L’article est paru sur le site de l’En Dehors, quotidien anarchiste sur le web. C’est Anonyme qui l’a mis en ligne le samedi 6 septembre 2008. 22h19, rubrique Actualité. Le papier est court. Mais ça fait toujours plaisir … Lire le reste de cet article »
« A contretemps, à contre-époque, avec pour seul propos de partir de l’écrit et d’y revenir, en renouant avec cette pensée critique qui fait tant défaut… Les livres, les revues, les publications dont il sera question ici – si l’ennui ne vient pas tout tarir – seront tous méritoires « . A contretemps est donc une revue anarchiste de critique littéraire, politique et sociale. On peut s’y abonner facilement. Quatre numéros par an environ, prix libre, 20 € pour rentrer dans les frais, plus si possibilité. Prise de contact sur le site web de la revue. Les textes, les auteurs passent à la moulinette. Et des papiers comme celui-là, paru dans le numéro 32 d’octobre 2008, on en redemande tous les jours. Merci à Monsieur Leglou d’avoir aimé l’honnête et de l’avoir écrit. Et que vive la moulinette d’A Contretemps ! Lire le reste de cet article »
Les âmes d’Atala. Une maison d’édition basée sur Lille. « Les Ames d’Atala sont une maisonnette d’édition consacrée à la littérature décadente. Elles ont pour but de révéler la monstrueuse beauté de textes déviants, joyaux de la fange pornographique, médicale ou prolétaire qui éclaboussent les fins de siècles. L’abîme en somme ! Et mieux que cela, l’Abîme et son cauchemar ». C’est aussi un site web. A voir. Et une revue : Amer. A lire. Lire le reste de cet article »