Aphorismes d’un été jacobien
jeudi 14 juillet 2016 par JMD
La loi n’est qu’une peste, qu’un choléra ; et, bien loin de la respecter, je la combats comme l’on combat la peste, comme l’on combat le choléra : par tous les moyens, même les plus violents.
Alexandre Jacob, Souvenirs d’un révolté, 1905
n. f.
C’est la qualité de ce qui est impétueux, emporté, irascible, quand il s’agit du caractère d’une personne ; c’est l’état de ce qui est d’une intensité anormale, lorsqu’il s’agit d’une chose. On dit également : « la violence de la tempête » ; « la violence des passions ».
Faire violence à quelqu’un, c’est le contraindre par la menace, ou par des mauvais traitements, soit à se soumettre à nos exigences, soit à se livrer à des actes en désaccord avec sa conscience, ou ses désirs personnels. Dans le langage sociologique, la violence c’est, par opposition à l’action légale et au prosélytisme pacifique, le recours à la force contre le droit commun, quel qu’en soit le motif. Lire le reste de cet article »