Jacobosalon
lundi 10 mai 2010 par JMD
Les bûcherons sont entrés dans la forêt
Les bûcherons sont de plus en plus laids
Avec leurs barbes de quatre mètres
Et leurs haches qui fendent les chênes
Et dans les arbres détruits ils dansent
A grands coups de tronçonneuse
Ils atrophient la nature pieuse
Bûcherons, Bérurier Noir Lire le reste de cet article »
Alors que la grisaille envahit jusqu’à nos plus claires envies, nous venons de recevoir par la magie du web une superbe carte en provenance du Sri Lanka. Sous la neige, les pavés. Sous les pavés, la plage ,et, sur la serviette, l’Honnête Cambrioleur. Pour sûr que le père Prestige a dû bien oeuvré pour la cause des tigres Tamouls du nord avant d’aller poser au sud son joli minois, et le reste qui va avec, sur ces étendues sableuses et « paradisiaques » ( c’est son mot rien qu’à lui) où il n’y a que des vagues de dunes pour arrêter les vagues. Sauf celle du 26 décembre 2004 bien sûr. Merci Guy pour le voyage offert. Nous, on va se préparer un bon grog. Dehors, il neige.
Idée : Vous aussi, photographiez l’honnête cambrioleur partout et envoyez-nous les images. Nous nous ferons un plaisir de les mettre en ligne.
A broder, à imprimer pour en faire un transfert pour t-shirt, pour en faire un poster, une carte postale, un sticker à coller sur les murs des villes et des villages.
L’abécédaire jacobien n’est pas fixe ; il illustre la vie de l’honnête cambrioleur et peut changer de multiples fois. Au jacoblogueur de trouver d’autres solutions :
Membre du canal historique de l’Atelier de Création Libertaire avec Mimmo Pucciarelli, JM (avec un B et pas un D) est, quoi qu’il en dise et s’en défende, plus que le simple incitateur du jacoblog. Une espèce de truc indispensable. Une superstructure sans laquelle nos articles ne pourraient webexister. Une sorte de maître Yoda du clavier. L’anarchie et la force sont en lui. Indispensable comme le Gaffiot pour qui fait du latin, comme le Ginette Matiot pour qui tâte de la louche et du fourneau, ou bien comme les outils Facom pour qui le dimanche s’amuse à construire des trucs dans son garage ou ailleurs. Il a bien voulu ici répondre à quelques-unes de nos questions même s’il apparaît, à l’image de la recette secrète du Coca Cola ou de la sauce du Big Mac, que nous ne saurons jamais celle de sa célébrissime paëlla. Les réponses de cet artisan éditeur fusent en revanche sur l’ACL, sur les livres publiés et sur les blogs, sur le petit monde de l’édition libertaire et, bien évidemment sur l’honnête cambrioleur. Lire le reste de cet article »
Dominique Kalifa, en axant la majeure partie de ses travaux sur l’histoire du crime et de ses représentations, a renouvelé la vision de la société française à la Belle Epoque. Avec l’Encre et le sang, paru chez Fayard en 1995, il révèle l’importance du fait divers et de son corollaire le sentiment d’insécurité.
Les écrits de ce collaborateur régulier au supplément littéraire de Libération et professeur à l’université de Paris I Panthéon – Sorbonne contribuent donc à éclairer l’histoire de l’honnête cambrioleur et des Travailleurs de la Nuit en particulier, de l’illégalisme français en général. Son dernier ouvrage, Biribi (Perrin, 2009), nous fait plonger dans les bas-fonds des bagnes militaires. Il a bien voulu pour l’occasion répondre à quelques-unes de nos questions. Lire le reste de cet article »
Mais aussi honnête publicité (voir le post-scriptum tout en bas de l’article) qui rattrape quelque peu le dérapage lupinien du numéro 53 de l’hebdomadaire satirique. Merci à toi père Godin.
Rencontres. Nous n’aurons de cesse d’aller taper le couaroille (comme ils disent dans le 88), la bavette, la tchatche aux amateurs d’honnête cambrioleur et du fagot récalcitrant. Et si, par des impératifs démographiques complètement dépendants de notre volonté, nos déplacements s’avèrent quelque peu ardus et limités géographiquement parlant, nous faisons alors largement appel aux principes févaliens de ce brave chevalier de Lagardère qui venait à l’autre quand l’autre ne daignait pas se mouvoir jusqu’à son auguste personne. Mais ici pas de botte de Nevers. Lire le reste de cet article »
Dans un récent article, nous relevions le crobard d’Avoine pour le malheureux papier de Michel Onfray dans le n°53 de Siné Hebdo (09 septembre 2009). L’image, que nous n’avions pas alors mise en ligne pour raisons techniques (notre récalcitrant scanner a depuis été remplacé), véhicule un Jacob faisant cracher le bourgeois au bassinet du pauvre. Une sorte de Robin des Bois en somme alors que la plume du philosophe sentait la lupinose à plein nez. Why not ? De là, l’idée soumise à la générale, à la cantonade et à qui veut bien. A vos crayons, à vos pinceaux, à votre palette graphique et numérique, à vos stylos, à vos feutres, à ce que vous voulez, etc. ! Le but du jeu est de fournir au Jacoblog un grand nombre de dessins représentant l’honnête cambrioleur, l’honnête bagnard ou encore l’honnête marchand forain. Vous pouvez envoyer le tout à l’adresse mail suivante jmarc.delpech@gmail.com. Cela permettra de faire vivre cette fenêtre ouverte sur l’illégalisme, sur le bagne et sur tant d’autres choses encore. Et bien sûr, il n’y a rien à gagner si ce n’est le plaisir des yeux et surtout un immense remerciement de notre part.
Août 2009. Contrairement au tube musical du même nom qui perdure quelques temps après la rentrée des classes, le livre de l’été – lui – s’oublie vite. Très vite. Très très vite. Il figure pourtant en bonne place dans la hiérarchie (beurk !) des stéréotypes balnéaires. Si le monokini n’a plus guère la côte, le format poche et le gros volume constituent toujours des incontournables du bord de plage. Lire le reste de cet article »
Toute ma vie j’ai été et suis encore d’une stricte probité.
Alexandre Jacob, Souvenirs rassis d’un demi siècle, 1948
En septembre les marmots reprennent le collier de l’éducastration et le Jacoblog fait sa rentrée. Le programme risque d’être chargé pour cette deuxième partie de l’année. Le Marseille d’Alexandre Jacob, le bagne, l’illégalisme et la propagande par le fait, le marchand forain et ses amis, des interviews et des produits dérivés se sont donnés rendez-vous. Du son, de l’image et de la lecture aussi. Et, en attendant le samedi 4 septembre, les aphorismes d’août ne vont pas tarder à arriver. Reste une solution : sur les plages, ou ailleurs, lisez l’honnête cambrioleur !
Aucune chance de trouver le produit dans les catalogues de VPC. Du papier transfert, un ordinateur, une imprimante, un fer à repasser, un t-shirt blanc … et le tout est joué. Te voilà paré pour une honnête publicité sur ta serviette de plage en attendant le retour du Jacoblog. Rendez-vous le 1er août !
Peut s’utiliser aussi à la montagne et à la campagne. 🙂
Après le brigadier Auquier, héros picard de la mère patrie; après le cimetière des enfants de l’A.P. de l’île royale; après le rapprochement dialectique entre deux moustachus anarchistes ; le jacoblog est heureux de vous offrir un quatrième quiz où il n’y a toujours rien à gagner. Une ville. Une rue. Une rue mystère. Rue du Petit Saint Jean. Il suffit de dire ce qui s’y est passé … et quand cela s’est passé. A vos claviers pour vos honnêtes ou malhonnêtes réponses laissées en commentaires !
Ou bien petite méprise ? Le dernier catalogue du Club du Livre Libertaire offre à ses lecteurs la possibilité de pouvoir acquérir les rééditions des Ecrits de Jacob (Insomniaque, 2004) et d’Un anarchiste de la Belle Epoque (Editions Libertaires, 2005).
Mais le CLL commet une bourde grossière dans la présentation du premier ouvrage en affirmant que le second est « la seule biographie complète » de l’honnête cambrioleur.