A-phroismes d’août (17)
lundi 17 août 2009 par JMD
Je vous quitte sans désespoir, le sourire aux lèvres, la paix dans le cœur. Vous êtes trop jeunes pour pouvoir apprécier le plaisir qu’il y a de partir en bonne santé, en faisant la nique à toutes ces infirmités qui guettent la vieillesse. Elles sont là, réunies ces salopes, prêtes à me dévorer.
Lettre à Guy Denizeau, 17 août 1954