Il y a des situations où il faut avoir le courage, la fermeté de courage de se prononcer catégoriquement par une affirmation ou alors il ne reste plus qu’à se ficher des gifles à soi-même. Faut-il accepter le mépris de soi ? Jamais.
Lettre à Marie Jacob, îles du Salut, 2 juillet 1914
N’aie pas peur. Dans des termes mesurés, crache-lui ton mépris à la face à ce produit incestueux, à ce grand mât surmonté d’une tête piriforme ornée de deux yeux de caméléon, un regard de nonne en rupture de cornettes.