Graffitis, un dialogue constant • 07/08/09
Il n’y a pas que les Pénélopes de jour à s’occuper des graffitis. Quelquefois, des mains anonymes viennent compléter des graffitis existants et initient ainsi un dialogue constant.
Il n’y a pas que les Pénélopes de jour à s’occuper des graffitis. Quelquefois, des mains anonymes viennent compléter des graffitis existants et initient ainsi un dialogue constant.
Les pochoirs permettent de multiplier (à l’infini ?) le graffiti et d’en faire un artisanat. L’artiste (l’artisan ?) travaille alors sur un support aux dimensions limitées et il faut qu’il ou elle, en peu de mots ou en peu d’images, trouve le déclic qui nous interpelle : « L’amour est un sens unique » en est l’exemple frappant, jouant sur les mots et les sens justement…
D’autres images du Bellevue festival qui s’est tenu fin juin sur la place Bellevue.