Gilbert François
Ces derniers jours du mois d’août la colline dort.
Les vacances s’étirent le long d’une diagonale qui nous ramène à nos racines, à la terre, la mer, le soleil, l’air et le feu pendant que le chronomètre s’arrête sur une onde chancelante.
Depuis trois ans, Gilbert François venait régulièrement travailler au CEDRATS, avec sa passion des mots, la lecture, la philosophie, la science et le partage des interrogations qui nous permettent de vivre dans ce monde dans lequel nous envisageons d’injecter encore et encore des nouvelles graines d’utopies.
Un ami, un frère, un père, un compagnon ?
Il ne reviendra plus, Gilbert, travailler au CEDRATS, les pentes alternatives sont en deuil !