Publié dans graffitis, bombages, pochoirs et autres affiches le 21 mai 2009
Ne pas aimer le fascisme et les fascistes, c’est facile à comprendre et à admettre… pour certain-e-s tagueurs militant-e-s, ce non-amour s’étend, semble-t-il naturellement, à la police. Y a-t-il des raisons ? Nous allons étudier le cas…