Poélitique de printemps
Vous allez me dire que ces graffitis ne sont pas des graffitis, les vrais, les moches, les politiquement engagés, les revendicatifs, les brouillons de pensées historiographées sur des murs provisoires, les taches d’encre, les coups de cœur, les corrections, les imprécations, les insolences (mais peu de sexe, pourquoi ?)… En vérité, en vérité je vous dis que cette main verte participe de ce mouvement sensible d’un groupe d’humain, de femmes et d’hommes qui essaient de nous interpeller pour ne pas laisser se vider cet espace de l’imaginaire dont on vend chère la peau.
En vérité en vérité je vous attends…