Que vive le printemps
Le printemps commence bien, avec des des milliers de jeunes personnes prêtes à s’engager pour le climat, pour une (r)évolution écologique, et prolonger nos rêves que l’utopie a brodées sur nos corps… mais il y en a toujours quelques-uns que la haine abreuve et qui sont venus, samedi dernier, balancer des gros pavés dans la vitrine de la Plume noire, qui n’est pas seulement une librairie anarchiste, mais une pointe toujours affutée nous signifiant qu’il ne faut jamais baisser les bras.
Ce n’est pas la première fois, et peut-être pas la dernière. Alors que faire ? Il ne nous reste qu’à continuer à développer la culture antifasciste afin qu’elle se manifeste quotidiennement dans notre belle ville, aussi bien dans nos quartier qu’à l’Hôtel de ville où siègent nos ami·es écologiste et de la gauche unie… si j’ai bien lu les résultats électoraux des dernières municipales.
Le printemps nouveau est arrivé et les petites fleurs jaunes de la jeune manifestante crient : siamo tutti e tutte antifasciste !!