Solidarité scolaire aux éboueurs en lutte
Depuis douze jours, je me réveille le matin avec un tas d’ordure en bas de chez moi (dans le quatrième). Puis, au fur et à mesure que je m’achemine vers mon lieu de travail (dans le premier), les trottoirs sont comme à l’accoutumée, ni très sales ni très propres, et les poubelles ramassées.
À vrai dire, je voudrais mieux comprendre ce qui se passe, et pourquoi la solidarité entre les salariés n’est pas à l’ordre du jour.
Une belle grève générale pour faire un peu de propreté dans les relations entre ceux/celles qui décident et celles/ceux qui exécutent… mais non, CE N’EST PAS ENCORE LE TEMPS DES CERISES !
Alors, contentons nous de cette manifestations de solidarité au goût scolaire crayonnée sur des bacs béants et pansifs (sic !!!).