Bon, après plus d’une semaine de murs peints, collés, et tagués, les effaceurs sont de retour pour effacer tout cela de nos murs. Heureusement que le photographe était là pour figer dans la mémoire universelle du web toutes ces images. Et souhaitons que les artistes de la bombe de peinture continuerons longtemps à réenchanter la ville.
Pierre de Coubertin, heureux homme et démocrate convaincu, disait : « L’important est de participer. » C’est bien ce que pensent nos barbouilleurs qui s’en donnent à cœur joie pour égayer nos murs.
Jeudi matin, à deux pas de ma porte, alors que je rêvais encore d’un autre monde, des vers en rouge peinturlés sur les murs de mon quartier les yeux ont salués .
J’ai dû quelque peu modifier mon trajet habituel (celui du matin n’est pas le même que celui de midi ou encore de l’après-midi et du soir) qui va de chez moi à mon « travail », pour rattraper l’ensemble de ces vers urbains qu’un anonyme en socquettes a gravé la nuit tombée. Des vers qui auraient pu rester épars, mais qu’au-delà des images que vous allez voir sont tous ramassés dans notre petite boîte crânienne où l’imaginaire croix-roussien à fait son nid…
Merci, poètes… à vos couleurs, je vous suis !
Allez, une grosse série de bombages variés qui devraient vous enchanter. Attention, je sens les effaceurs se presser à la porte.
On vous avait prévenu que ce serait la semaine des graffitis. Un peu de graffitis rigolard aujourd’hui : ils sont simples, mais certainement ont-ils été beaucoup travaillés avant de sortir se coller sur les murs. Allez, régalez vos yeux car je sens les effaceurs arriver à grand pas.
La semaine continue avec aujourd’hui des graffitis papiers. Pas que des graffitis et pas que des affiches… des graffitis papiers qui permettent de nous projeter dans une monde à deux dimensions.
Nous continuons la semaine avec d’autres graffitis, tout autant travaillés que ceux d’hier. Régalez vos yeux, il y en a beaucoup que vous ne verrez plus. Le photographe fait œuvre d’historien en gravant sur le net des images perdus aux yeux des passants.
On continue dans la série des graffitis. Hier, c’étaient les A cerclés et aujourd’hui des graffitis beaucoup plus artistiques qu’un simple A inscrit dans un cercle. On ne peut que s’arrêter pour les regarder et envier le pinceau (la bombe) agile des artistes qui s’en donnent à cœur joie !
Allez, encore un peu de A cerclés pour égayer les jours d’un automne tristounet…
Les portes des immeubles sont des endroits où les artistes du graffiti aiment s’épancher. Alors entamons une nouvelle série…
