Salon des éditions libertaires 17 novembre 2012 – La makhnovtchina
Une réunion de l’Atelier de création libertaire, en 1997
Murray Bookchin à Lyon en 1984
« L’autre Amérique écologiste et libertaire » était le sujet de la rencontre-débat avec Murray Bookchin. Cette rencontre, à l’initiative de la librairie la Gryffe, de la revue IRL et de l’Atelier de création libertaire, eut lieu dans les locaux de la Condition des Soies, sur les Pentes de la Croux-Rousse, le mercredi 14 novembre 1984.
(photographies de Mimmo Pucciarelli)
L’été 1979 à la Gryffe
Voici un aperçu de ce qu’était la librairie libertaire la Gryffe dans la fin des années soixante-dix. En archéologue nous pouvons d’ailleurs préciser cette date : l’été 1979 (septembre ?). En effet, on voit vers la caisse la présence d’IRL numéro 29 qui est sorti pour l’été 1979 et l’annonce du meeting de soutien à Pier Paolo Goegan, qui eut lieu le 28 septembre de cette année.
Dans la librairie, ce sont Claudie et Jean-Pierre qui assurent la partie « figuration », bien que ce ne soit pas le mot lorsque l’on travaille à la Gryffe !
(Photographies de Christophe)
Etre punk en 1982 – Haine Brigade
Début 1982, dans son numéro 44 daté de mars-avril, la revue IRL publiait l’interview d’un groupe de tout jeunes anarcho-punks de la banlieue lyonnaise : « Haine Brigade ».
(Photos Yves Guélaud)
Devant la librairie la Gryffe
La Gryffe est née en 1978… et elle est toujours vivante aujourd’hui. En 1985, quelques anarchistes posaient pour la photographie. De la droite vers la gauche : Daniel, Antoine Marsella, David, Alain, Zizette Marsella et Jean-Marc.
Sortie IRL numéro 31
Assemblée générale de la revue IRL, le 24 septembre 1978
IRL, dont nous vous parlerons souvent, était une revue publiée à Lyon, entre 1973 et 1991. Une assemblée générale avait lieu, tous les ans au début, un peu moins souvent ensuite quand une rédaction plus régulière s’est formée. C’est à l’issue d’une de ces assemblées générales, et pour la sortie du numéro de rentrée, que nous nous sommes tous retrouvés devant le local historique du 13 rue Pierre Blanc pour simuler une interminable queue d’acheteurs de la revue.